À propos
Moi, c'est Eloïse et voici comment les mots m'ont délivrée...
Je garde un souvenir singulier du moment où la magie des mots m’a été révélée. Depuis ce moment, elle ne m’a plus quittée. Jusqu’à mon burn out il y a quelques années alors que je jonglais avec toutes les facettes d’une vie bouillonnante de femme, d’enseignante passionnée et de jeune maman.
Quelque chose s’est perdu en cours de route, me forçant à m’arrêter pour me recentrer. Je participe alors à un atelier d’écriture, je retrouve le plaisir des mots, l’ivresse des livres. Et la flamme reprend.
Du Slow Reading Club au mot qui délivre
Au printemps 2018, je me lance. Je donne vie à une idée qui a germé pendant cette pause nécessaire : le Slow Reading Club. Je découvre la joie de proposer des bulles de bien-être. Et j’en veux encore plus, plus de rencontres, plus d’échanges, plus d’apprentissages, plus d’émotions, plus de richesse… à travers les mots.
Depuis l’étincelle a pris grâce à la communauté qui a répondu à l’invitation. L’intuition de départ s’est transformée en un projet de vie : le mot qui délivre.
Mon cheminement
Jeune étudiante, je n’ai pas voulu suivre une voie toute tracée, celle des romanes qui me semblait destinée. J’ai commencé par une licence en communication qui a élargi mon monde et nourri ma grande curiosité. Quelques années après j’ai repris un master en littératures romanes, qui sur le chemin m’avait manqué.
Nourrie par mes stages et mes recherches dans le domaine de l’édition belge ou de l’enseignement de la langue française à l’étranger, et grâce à mon expérience de 10 ans dans l’enseignement, j’ai pris conscience de l’expérience accumulée. Tous les projets, les mises en scène théâtrale, coaching en arts de la parole, en rédaction, jardin poétique, rencontre d’auteurs,… c’était finalement une passion qui débordait des murs de la classe. Signes qu’il fallait que je crée mon propre métier.
Comment je me suis formée à l’écriture et à la bibliothérapie
Pour donner corps et âme à cette activité, j’ai complété mes apprentissages en suivant la formation d’écriture biographique de Benoît Coppée à la Maison du Livre de Bruxelles.
J’ai poursuivi mon élan en allant me former à Paris en bibliothérapie avec Aurélie Raymond « Lecture vivante et Écriture créative ». Et aujourd’hui j’ai été invitée à rejoindre l’Association Francophone de Bibliothérapie en tant que première praticienne belge.
Je réalise à présent que toutes les pièces du puzzle se sont complétées pour créer un métier sur-mesure, singulier, celui dont j’ai toujours rêvé.